125, attitude poétique

Ah... les cours d'éducation sexuelle... toujours aussi épiques!

Oh oui ! Même quand on savait déjà ce que les profs allaient expliquer. Le plaisir, c'était aussi de voir comment ils s'y prenaient et comment ils le vivaient ! Trop drôle.

Belette83 a écrit:... 
Bon, à part ça j'aime bcp les vers  de Bastos.

Merci, ça fait plaisir. 

ce sujet etait parti sur de bonnes intentions , dur constat encore une fois ça tourne a la godriole .
C'est phifi qui a détourné le sujet , en le lisant je me suis souvenu des lettres de george sand a alfred de musset ou bien paul léautaud a sa maitresse , sacrement fortiche pour pondre de telles lettres

Pour recentrer le sujet, 
Quelques vers alignés, 
Rien de bien formidable, 
Ni de très mémorable.

Les mots choisis s'enchaînent, 
Ils sont trouvés sans peine, 
Contact, kick, et ça part, 
C'est comme nos prétoires. 

En reprenant le titre, 
Pour les huitièmes de litre,
En deux et quatre temps, 
Ou elec maintenant.

Les mains dans le cambouis, 
C'est pas encore fini.
De l'essence, et la gomme, 
L'acier, la graisse, quelle somme.

Une devise le proclame,
Deux roues transportent l'âme,
Les quatre bougent les corps. 
On ne lui donne pas tord.

C'est très joli ça aussi, j'aime bien.

@BASTOSdu24, heureux que ce sujet réveil ton âme..

Et qui prendra la relève,
De rimailler avec vous,
A moins que ne soit la grève,
Une panne des esprits fous. 

Mais c'est la fin de semaine, 
La météo est avec nous,,
Pour l'heure plus de quarantaine, 
Il faut faire tourner les roues. 

Seuls resteront au garage, 
Les bolides d'un autre âge, 
Nécessitant réparations,
Ou même modifications.

Pour eux, le temps est alors,
Venu les soins et plus encore,
Embrayage, bielle ou piston, 
Bougie et changement de rayons.

Et pour eux, pas de voyage, 
Ils n'auront que le partage, 
Que feront des Aventures, 
Les autres sur leurs montures.

Ça y est Victor Hugo est de retour

oliv' a écrit:@BASTOSdu24, heureux que ce sujet réveil ton âme..

Et, vas-y, dis qu'j'suis endormi du ciboulot tant que t'y es.... 

lolocomet33 a écrit:  Ça y est Victor Hugo est de retour

A choisir je préférerais être assimilé à Edmond Rostand. Ce serait plus cohérent. 

Mais merci de la comparaison. J'apprécie sans avoir la prétention d'y croire.
(à prendre au même degré que la citation  )

Te formalise pas Bastos. Je suis sûre qu'il n'a même pas capté qu'il y avait un rythme : 7 pieds pour chaque vers dans le dernier poème.
J'en faisais quand j'étais jeune mais je ne sais plus où ils sont.
Le topic serait peut-être l'occasion de m'y remettre. En tout cas, c'est un topic sympa.

Belette83 a écrit:Te formalise pas Bastos. Je suis sûre qu'il n'a même pas capté qu'il y avait un rythme : 7 pieds pour chaque vers dans le dernier poème.
J'en faisais quand j'étais jeune mais je ne sais plus où ils sont.
Le topic serait peut-être l'occasion de m'y remettre. En tout cas, c'est un topic sympa.

Moi je prends mon pied au 7 ieme ciel

Belette83 a écrit:Te formalise pas Bastos. Je suis sûre qu'il n'a même pas capté qu'il y avait un rythme : 7 pieds pour chaque vers dans le dernier poème.
J'en faisais quand j'étais jeune mais je ne sais plus où ils sont.
Le topic serait peut-être l'occasion de m'y remettre. En tout cas, c'est un topic sympa.

Salut,



A+LIO

@Belette83
Ne te retiens pas, lâche toi, fais toi plaisir, 
Tu ne risque rien, des railleries au pire,
De la part de jaloux et fâcheux moqueurs,
Qui, si ils osaient trouveraient le bonheur,
 Sur une page d'un forum, de coucher enfin, 
Autre chose qu'immonde et honteux venin.

Ode à ma mienne. 

J'avais un projet ancien et tenace, 
Une idée folle et fort peu raisonnable, 
On t'a évoqué autour d'une table, 
Tu m'attendais seule et au fond d'une casse,

J'étais novice, je m'y connaissais peu,
Je n'ai pas vu ton moteur était bien serré, 
Mais tu as mis l'intecelle dans mes yeux,
Je n'ai eu en tête que de te restaurer.

Au début je ne voulais que te démarrer, 
Mais ma curiosité m'a fait te démontrer,
En recherche de pièces, et le temps passant,
Plein d'idées sont venues, mais rien de permanent. 

Mais jamais, non jamais je n'ai pu t'oublier, 
Même si pour ton bien je n'étais assidu,
D'abandonner, jamais l'idée ne m'est venue, 
C'était joué, piégé, tu m'avais envoûté.

De jours en jours les années s'ecoulaient,
Les incrédules m'ont dit d'abandonner,
Mais cela renforce ma motivation, 
Un jour finiront mes interventions. 

Ensemble, en route, on pourra profiter, 
Faire des détours par des beaux paysages, 
Et à notre tour, vous faire partager, 
Nos belles aventures, nos petits voyages.

lolocomet33 a écrit:

Belette83 a écrit:Te formalise pas Bastos. Je suis sûre qu'il n'a même pas capté qu'il y avait un rythme : 7 pieds pour chaque vers dans le dernier poème.
J'en faisais quand j'étais jeune mais je ne sais plus où ils sont.
Le topic serait peut-être l'occasion de m'y remettre. En tout cas, c'est un topic sympa.

Moi je prends mon pied au 7 ieme ciel

Ah bon???? ça t'es déjà arrivé???

J'ai pas posé mais j'l'ai pensé très fort 

BASTOSdu24 a écrit:Et qui prendra la relève,
De rimailler avec vous,
A moins que ne soit la grève,
Une panne des esprits fous. 

Mais c'est la fin de semaine, 
La météo est avec nous,,
Pour l'heure plus de quarantaine, 
Il faut faire tourner les roues. 

Seuls resteront au garage, 
Les bolides d'un autre âge, 
Nécessitant réparations,
Ou même modifications.

Pour eux, le temps est alors,
Venu les soins et plus encore,
Embrayage, bielle ou piston, 
Bougie et changement de rayons.

Et pour eux, pas de voyage, 
Ils n'auront que le partage, 
Que feront des Aventures, 
Les autres sur leurs montures.

  c'est sympa 

Belette83 a écrit:J'ai pas posé mais j'l'ai pensé très fort 

J'avais écrit "j'ai pas osé".

Oh bonne mère! un Lutin est revenu!!

Oui, on dirait et franchement, ça ne m'amuse plus du tout. Les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures.