Bien conduire sa moto en automne, nos conseils utiles

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En moto comme en scooter, les saisons et le temps qui va avec font évoluer les dangers qui peuvent vous surprendre sur la route. Il faut donc se méfier en permanence de l’environnement routier et urbain sur son trajet, même si on le connaît parfaitement. L’automne est par définition la saison de tous les dangers, car c’est en cette saison que la météo est la plus imprévisible. Les températures baissent, la pluie devient fréquente, le gel peut arriver au sein de quelques régions, le vent souffle plus fort dans vos roues et les arbres perdent leurs feuilles qui jonchent la route. La vigilance doit donc augmenter pour prévenir des risques plus grands.



Avec l’arrivée de l’automne, quels dangers peuvent vous surprendre sur la route ?

• Les feuilles sur la route. En automne, les arbres perdent leurs feuilles. Avec le vent ou même pour ceux situés le long des routes, ces feuilles peuvent se retrouver sur votre chemin et dégrader votre sécurité en se retrouvant entre le bitume et votre pneu, ce « tapis » de feuilles mortes diminue l’adhérence de votre véhicule, même en cas de beau temps. Faites donc attention où vous mettez vos pneus au moment de tourner ou de freiner, sinon c’est la glissade assurée.
  Que faire ? Lorsque vous voyez des feuilles sur votre route, accélérez et freinez progressivement et adaptez un peu votre vitesse.
  
  

• La pluie. C’est à cette période de l’année que la pluie commence à être souvent présente dans notre beau pays. Elle dégrade de façon sensible votre champ de vision derrière l’écran de votre casque et rend la route glissante. La pluie refroidit (au sens propre comme au figuré) souvent les envies de rouler de beaucoup de motards et ça se comprend…
  Que faire ? Prenez des distances de sécurité plus grandes. Essayez de rester décontracté dans votre conduite, cela permet de minimiser les risques de mouvements brusques et de glissades. Enfin, freinez avec davantage de délicatesse pour limiter le risque de blocage. Si votre moto comporte l’ABS, c’est un gage de sécurité nettement accrue, mais cela n’empêche pas de freiner de façon progressive et en répartissant l’effort entre l’arrière et l’avant. Une moto « assise » lors des freinages sur le mouillé se comportera mieux.
  
  
• Le soleil rasant. En cette saison, le soleil est capricieux et il peut souvent être éblouissant aux heures où les conducteurs vont et sortent du travail. Cette situation met à l’épreuve vos réflexes et votre vision, les panneaux de signalisation et les autres usagers de la route sont plus difficilement visibles, et vous obligent à une certaine prudence.
  Que faire ? Les écrans teintés, les écrans solaires internes, externes ou une paire de lunettes adaptée sont un plus non négligeable pour ce type de situation. L’équipement vient alors au secours de la vue.
  
  
• La température qui chute et le gel. C’est aussi à l’automne que les températures chutent. Les motos et scooters ne voient pas leurs fonctionnement en souffrir, mais le temps de mise en température des pneus s’allonge par rapport à la période estivale. Grand monstre de l’hiver, c’est pourtant bien en automne que le gel commence à apparaître dans certaines régions montagneuses, quelques épisodes de grêle peuvent également s’inviter en cette saison. Une petite vérification de l’évolution météo est alors vivement conseillé, d’autant que les prévisions sont de plus en plus précises.
  Que faire ? Pour le temps de chauffe des pneus, soit « la mise en action », il convient de prendre un peu plus de temps avant de prendre beaucoup d’angle sur la route. Lors des premiers freinages, il faut être plus prudent qu’en été. Toutefois, les pneus modernes chauffent vite et atteignent leurs températures optimales de fonctionnement lorsqu’ils sont sollicités (avec des freinages appuyés en ligne, par exemple). De fait, si vous en avez la possibilité et en toute sécurité, appuyez un peu vos freinages en début de roulage et vos pneus monteront alors plus vite en température. Si gel il y a, redoublez de prudence sur la route, en évitant de vous crisper afin de réduire les mouvements brusques et brouillons.
  
  
• Des journées écourtées. Qui dit automne dit jours qui raccourcissent. De fait, il n’est pas rare d’être surpris, pendant un trajet à moto, par la tombée de la nuit. Le matin aussi, pour ceux qui travaillent tôt la nuit peut-être toujours de la partie.
  
• Que faire ? Il faut alors penser à son équipement (choix d’écrans) et c’est aussi l’occasion de vérifier l’état de son éclairage. Et pourquoi pas un petit coup de chiffon tous les matins sur son phare, son feu arrière, ses clignotants ? Côté équipements, même si les blousons de moto sont majoritairement vendus dans la couleur noire ou les teintes sombres, ne négligez pas un achat avec un peu de couleurs. Le jaune fluo est redevenu un temps à la mode pour les casques et c’est un vrai plus côté sécurité. Les statistiques d’accident en raison d’une mauvaise visibilité du motard sont significatives. Il existe aussi des brassards rétro réfléchissants, des dispositifs lumineux pour accroître la visibilité… nul besoin de se transformer en sapin de Noël pour autant.
  
  

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Au moment de basculer de l’été à l’automne, il est préférable de vérifier l’état de son équipement. Notamment l’état de l’écran de son casque, de la lentille anti buée Pinlock aussi.

L’importance de l’équipement

Pour faire face à ces conditions météorologiques changeantes, vous avez bien évidemment besoin d’un équipement fiable. Le petit blouson de cuir de cet été va sans doute rejoindre son armoire jusqu’au printemps prochain. Vérifiez donc votre équipement à l’arrivée de l’automne, son état, votre veste d’hiver était elle encore étanche quand vous l’avez remisée ? L’écran principal de votre casque modulable est il encore en bon état ? Ne faudrait il pas changer de lentille Pinlock ? C’est aussi le moment de passer un petit coup d’imperméabilisant sur vos bottes, votre blouson, etc. Vérifiez également l’état de vos pneus, ont ils des sculptures encore suffisamment profondes ? C’est le moment de pratiquer un contrôle général de votre moto ou de votre scooter.





Source: https://moto-station.com/moto-revue/pratique/bien-conduire-sa-moto-en-automne-nos-conseils-utiles/648363

salut les amis

   que de bons conseils ! le temps que je lise tout je serai revenu de ma balade 

   et à plus tard
alain

Salut,

L'automne, la moto rentre au chaud. Automne= route dégueulasse et difficulté de savoir le temps.
C'est comme ça le Finistère sud. On assume.

Merci pour le rappel de ces précieux conseils

lio29 a écrit:Salut,

L'automne, la moto rentre au chaud. Automne= route dégueulasse et difficulté de savoir le temps.
C'est comme ça le Finistère sud. On assume.

Un motard qui ne fait pas de moto l'hivers, n'est pas un vrai motard tout comme un cycliste. Avec mes anciennes 1000, j'en faisais l'automne et l'hivers, mais moins longtemps quand il y avait 0° voir du - 5 même avec un bon équipement d'hivers, j'avis vite froid aux pieds, mains et tête.
Alors déjà que les motards de grosses cylindrées comme je l'ai été ne font pas signe en général aux conducteurs de 125 car ils estiment que ce ne sont pas de vrais motards, et c'est vrai pour certains qui viennent du 4 roues si je peux dire, mais il n'y a pas qu'eux non plus, alors si en plus ils rangent leur moto pour l'hivers...

BALDO a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


En moto comme en scooter, les saisons et le temps qui va avec font évoluer les dangers qui peuvent vous surprendre sur la route. Il faut donc se méfier en permanence de l’environnement routier et urbain sur son trajet, même si on le connaît parfaitement. L’automne est par définition la saison de tous les dangers, car c’est en cette saison que la météo est la plus imprévisible. Les températures baissent, la pluie devient fréquente, le gel peut arriver au sein de quelques régions, le vent souffle plus fort dans vos roues et les arbres perdent leurs feuilles qui jonchent la route. La vigilance doit donc augmenter pour prévenir des risques plus grands.



Avec l’arrivée de l’automne, quels dangers peuvent vous surprendre sur la route ?

• Les feuilles sur la route. En automne, les arbres perdent leurs feuilles. Avec le vent ou même pour ceux situés le long des routes, ces feuilles peuvent se retrouver sur votre chemin et dégrader votre sécurité en se retrouvant entre le bitume et votre pneu, ce « tapis » de feuilles mortes diminue l’adhérence de votre véhicule, même en cas de beau temps. Faites donc attention où vous mettez vos pneus au moment de tourner ou de freiner, sinon c’est la glissade assurée.
  Que faire ? Lorsque vous voyez des feuilles sur votre route, accélérez et freinez progressivement et adaptez un peu votre vitesse.
  
  

• La pluie. C’est à cette période de l’année que la pluie commence à être souvent présente dans notre beau pays. Elle dégrade de façon sensible votre champ de vision derrière l’écran de votre casque et rend la route glissante. La pluie refroidit (au sens propre comme au figuré) souvent les envies de rouler de beaucoup de motards et ça se comprend…
  Que faire ? Prenez des distances de sécurité plus grandes. Essayez de rester décontracté dans votre conduite, cela permet de minimiser les risques de mouvements brusques et de glissades. Enfin, freinez avec davantage de délicatesse pour limiter le risque de blocage. Si votre moto comporte l’ABS, c’est un gage de sécurité nettement accrue, mais cela n’empêche pas de freiner de façon progressive et en répartissant l’effort entre l’arrière et l’avant. Une moto « assise » lors des freinages sur le mouillé se comportera mieux.
  
  
• Le soleil rasant. En cette saison, le soleil est capricieux et il peut souvent être éblouissant aux heures où les conducteurs vont et sortent du travail. Cette situation met à l’épreuve vos réflexes et votre vision, les panneaux de signalisation et les autres usagers de la route sont plus difficilement visibles, et vous obligent à une certaine prudence.
  Que faire ? Les écrans teintés, les écrans solaires internes, externes ou une paire de lunettes adaptée sont un plus non négligeable pour ce type de situation. L’équipement vient alors au secours de la vue.
  
  
• La température qui chute et le gel. C’est aussi à l’automne que les températures chutent. Les motos et scooters ne voient pas leurs fonctionnement en souffrir, mais le temps de mise en température des pneus s’allonge par rapport à la période estivale. Grand monstre de l’hiver, c’est pourtant bien en automne que le gel commence à apparaître dans certaines régions montagneuses, quelques épisodes de grêle peuvent également s’inviter en cette saison. Une petite vérification de l’évolution météo est alors vivement conseillé, d’autant que les prévisions sont de plus en plus précises.
  Que faire ? Pour le temps de chauffe des pneus, soit « la mise en action », il convient de prendre un peu plus de temps avant de prendre beaucoup d’angle sur la route. Lors des premiers freinages, il faut être plus prudent qu’en été. Toutefois, les pneus modernes chauffent vite et atteignent leurs températures optimales de fonctionnement lorsqu’ils sont sollicités (avec des freinages appuyés en ligne, par exemple). De fait, si vous en avez la possibilité et en toute sécurité, appuyez un peu vos freinages en début de roulage et vos pneus monteront alors plus vite en température. Si gel il y a, redoublez de prudence sur la route, en évitant de vous crisper afin de réduire les mouvements brusques et brouillons.
  
  
• Des journées écourtées. Qui dit automne dit jours qui raccourcissent. De fait, il n’est pas rare d’être surpris, pendant un trajet à moto, par la tombée de la nuit. Le matin aussi, pour ceux qui travaillent tôt la nuit peut-être toujours de la partie.
  
• Que faire ? Il faut alors penser à son équipement (choix d’écrans) et c’est aussi l’occasion de vérifier l’état de son éclairage. Et pourquoi pas un petit coup de chiffon tous les matins sur son phare, son feu arrière, ses clignotants ? Côté équipements, même si les blousons de moto sont majoritairement vendus dans la couleur noire ou les teintes sombres, ne négligez pas un achat avec un peu de couleurs. Le jaune fluo est redevenu un temps à la mode pour les casques et c’est un vrai plus côté sécurité. Les statistiques d’accident en raison d’une mauvaise visibilité du motard sont significatives. Il existe aussi des brassards rétro réfléchissants, des dispositifs lumineux pour accroître la visibilité… nul besoin de se transformer en sapin de Noël pour autant.
  
  

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Au moment de basculer de l’été à l’automne, il est préférable de vérifier l’état de son équipement. Notamment l’état de l’écran de son casque, de la lentille anti buée Pinlock aussi.

L’importance de l’équipement

Pour faire face à ces conditions météorologiques changeantes, vous avez bien évidemment besoin d’un équipement fiable. Le petit blouson de cuir de cet été va sans doute rejoindre son armoire jusqu’au printemps prochain. Vérifiez donc votre équipement à l’arrivée de l’automne, son état, votre veste d’hiver était elle encore étanche quand vous l’avez remisée ? L’écran principal de votre casque modulable est il encore en bon état ? Ne faudrait il pas changer de lentille Pinlock ? C’est aussi le moment de passer un petit coup d’imperméabilisant sur vos bottes, votre blouson, etc. Vérifiez également l’état de vos pneus, ont ils des sculptures encore suffisamment profondes ? C’est le moment de pratiquer un contrôle général de votre moto ou de votre scooter.





Source: https://moto-station.com/moto-revue/pratique/bien-conduire-sa-moto-en-automne-nos-conseils-utiles/648363

De bons conseils que tout motard qui se respecte et respecte les autres devrait savoir, seulement hélas, ce n'est pas le cas, surtout pour ceux qui sont d'une voiture à un 2 roues sans aucunes connaissances et c'est souvent le cas. Quant à ceux qui rangent leur moto l'hivers, comme je viens de le dire plus bas, ce ne sont pas de vrais motards et rouler l'automne et l'hivers ça apporte de l'expérience et améliore votre conduite quand vous roulez le printemps et l'été, vous devenez plus vigilant et respectueux des autres aussi.

"La température qui chute, les feuilles sur la route, la pluie, ..."

Aujourd'hui sur Béthune, 25° grand soleil... Comme hier d'ailleurs...

C'est pas plutôt des conseils pour l'hiver ça ??? 

pollux59510 a écrit:"La température qui chute, les feuilles sur la route, la pluie, ..."

Aujourd'hui sur Béthune, 25° grand soleil... Comme hier d'ailleurs...

C'est pas plutôt des conseils pour l'hiver ça ??? 

oui mais tous les mois d'octobre ne sont pas comme cette année, hélas, lol  et l'hivers ça arrive vite...

boujou les amis 

- la définition du motard est donc simple = c'est un mec (e) qui ne sort pas d'une auto et roule tout l'hiver... simple n'est il pas    

   à la r'voyure et vive le forum 
alain

Salut,

Dans la Yaute quand il y a 20cm de neige tu sors pas la moto. J'ai vu pas mal de motard et scooteriste arrêtés sur le bord de la route parce qu'il ne parvenaient plus à rouler et faisait du stop pour aller au travail.

Ben moi, quand il fait froid et/ou qu'il pleut, j'évite de sortir la moto.
Je ne suis pas un motard mais j'm'en fous (complètement ).

En plus après la pluie tu es bon pour faire un nettoyage de la bécane

Ceux qui le font, n'ont souvent pas d'autre choix (temps de transport pour aller travailler,  pas d'autre véhicule, pas de transport en commun  etc...) 

Quand on le peut on évite la pluie, ce qui n'empêche pas de se faire surprendre selon les circonstances du trajet.
Le froid, c'est différent car les équipements d'aujourd'hui ont bien évolué. 
Personnellement,  je sors la moto l'hiver quand le temps est favorable même s'il fait froid et qu'il faudra nettoyer la moto. Mais ce ne sont que des balades et j'ai le choix...

C’est mieux avec le beau temps

boujou les amis  (e)

  indéniablement les motards en 1/8 ne sont pas des motards et il y en a même qui s'en foutent complètement = c'est un véritable scandale 



  à la r'voyure et vive le forum 
alain 

>>> je pense que le plus tôt serait le mieux     avis tout à fait personnel mais partagé par d'autres non motards

 moi je m en bat la raie , 1/8 pas motard peux être , mais je ne sort pas la mobylette quand il pleut, neige , gel , etc etc , comme dit cork il y en as qui ont pas le choix , mais quand tu peux éviter , c est pas parce que tu roules en 1000 ou tu as roulé en 1000 que tu es un motard , la route est la même pour tout le monde , quand tu manges , tu manges ,  

Alabasse 14 a écrit:boujou les amis  (e)

  indéniablement les motards en 1/8 ne sont pas des motards et il y en a même qui s'en foutent complètement = c'est un véritable scandale 



  à la r'voyure et vive le forum 
alain 

>>> je pense que le plus tôt serait le mieux     avis tout à fait personnel mais partagé par d'autres non motards

C'est pas la taille qui compte... 

Je parle de l'engin,.. 

Je veux dire du 2 roues.


Perso, je préfère l'état d'esprit et l'humblitude d'un gus en pétrolette (quel que soit le cubage, même gros) , que le dédain et la suffisance d'un monsieur en "vrai" moto. 
Tu ne veux pas rouler l'hiver ?
Tu veux rouler par tout les temps ? 
Tu roule quoi qu'il en coûte ?(*) 
Il te faut un ensemble de conditions impératives ? 
Mais comme ça m'en touche une... (*)

(* : citations présidentielles qui parleront à tous)

Mais mon bon monsieur parfois la pluie arrive sans crier "gare" !